Depuis que j’ai lu le livre « Et si on arrêtait d’empoisonner nos enfants » et que je m’intéresse de près aux perturbateurs endocriniens, j’ai complètement bouleversé ma consommation.
Cela passe par ne plus faire chauffer les plastiques avec mes aliments, notamment. Mais aussi cuisiner principalement tous mes plats avec des produits bios et non transformés. Faire le moins de courses possible dans un supermarché.
Utiliser un max de produits de beauté naturel, par exemple l’huile de coco vient remplacer les masques pour les cheveux hors de prix.
Mais c’est quoi le problème exactement avec les perturbateurs endocriniens ?
Pour ceux qui n’aiment pas lire je vous invite à voir cette conférence d’Aurèle Clémencin directeur scientifique et expert sur la question des perturbateurs endocriniens qui nous parle précisément des perturbateurs endocriniens, de l’apparitions du terme en passant par leurs conséquences, l’avancée de la science, jusqu’au les faibles ou inexistantes législations aujourd’hui en Europe.
Le terme perturbateur endocrinien est utilisé pour la première en 1991 lors d’une conférence dans le Wisconsin présidée par Theo Colborn pour être introduite dans la littérature scientifique en 1993.
Fin des années 90 la communauté européenne commence à s’intéresser au sujet pour établir une liste prioritaire en 2007 soit 10 ans qu’il s’intéresse enfin au problème.
Et c’est en 2002 que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) définit les perturbateurs endocriniens.
Les effets des perturbateurs endocriniens
Réduction de la fertilité
Modification du ratio homme/femme
Précocité de la puberté
Problème neurologiques comportementaux
Problèmes d’immunitaires perturbés
Divers cancers
Où trouve t-on les perturbateurs endocriniens ?
Les voix de contamination sont multiples.
La plupart des perturbateurs endocriniens auxquels nous sommes exposés, sont créés par l’homme même si il en existe des naturels.
Le nombre de perturbateurs endocriniens est en augmentation. Il y aurait environ 1000 substances qui seraient concernés par les perturbateurs endocriniens.
On les trouve dans l’alimentaire, les détergents, les cosmestiques, les tickets de caisse, résidus d’emballage, pesticides.
40% des produits d’hygiène et beauté avaient au moins un perturbateur endocrinien.
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